Les murs et les fenêtres doivent être bien ajustés
Une protection acoustique adéquate commence par les conseils d’un expert et ne devient parfaite que si elle est correctement installée. Après tout, vous ne pouvez profiter d’une véritable tranquillité que si les composants sont correctement et convenablement installés, conformément aux exigences de chaque classe d’isolation acoustique. Le poids des fenêtres à haut coefficient d’isolation acoustique impose également des exigences élevées à la conception du cadre. Les propriétés statiques, la stabilité et la résistance aux chocs doivent être correctes. N’oubliez pas que le son pénètre dans les plus petites fissures, tout comme l’eau, le froid ou la chaleur. Les fenêtres et la maçonnerie doivent donc être finies de manière étanche à l’air. Ce n’est qu’à cette condition que les mesures d’isolation acoustique peuvent être couronnées de succès et contribuer de manière importante à la protection de votre santé.
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3 conseils supplémentaires pour réduire la pollution sonore
- Conseil 1 : Les textiles amortissent le bruit
Un tapis ou une moquette, des sièges en tissu, tout cela aide. Ou accrochez une tapisserie sur un grand mur : très chic et absorbant le son.
- Conseil n° 2 : réduisez les grands espaces
Ne paniquez pas. Il n’est pas nécessaire de démolir, de couper ou de construire des murs pour rendre les pièces plus petites. Placez une armoire au milieu du salon, par exemple. Ou installez-y une porte coulissante.
- Conseil 3 : Plantes d’intérieur
Saviez-vous que les plantes ont un effet d’absorption du son ? Une plante d’intérieur décorative est également très saine : elle purifie l’air.
Même la meilleure isolation acoustique a ses limites
Est-ce que vous ou votre partenaire ronflez ? Il faut alors savoir que le ronflement peut faire beaucoup de bruit : de 40 à plus de 80 décibels. Une punition, d’autant plus que la limite maximale autorisée pour le bruit nocturne dans une habitation n’est en fait que de 45 décibels…. Selon le livre mondial des records Guiness, le Suédois Kåre Walkert est le ronfleur le plus bruyant du monde : en 1993, il a atteint des niveaux de pointe de 93 dB. En Angleterre, une Jenny Chapman aurait atteint 111,6 décibels en 2009. C’est plus bruyant qu’un avion à réaction survolant le sol à basse altitude. Aucune isolation sonore ne peut rivaliser avec cela 😉
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